Après dix jours sur place, quelques repères
utiles dans cette jolie petite ville .
De loin, l’approche est balisée par un
alignement entre un rocher à quelques milles de l’entrée et un phare dans la
ville. Puis l’entrée dans la baie se fait entre la cardinale est qui balise un récif et une épave, et la
tourelle sur le récif à la côte. Les feux fonctionnent — janvier 2014.
Mouiller à gauche dans baie, vers les
grosses bouées jaunes, par environ 8-10 mètres de fond, du sable. Ce côté est
réservé aux bateaux de passage.
Poubelles
Le grand truc des Galapagos, c’est le tri
sélectif des déchets. Devant chaque maison il y a trois poubelles, une verte
(organique), une bleue (déchets recyclables) et une noire (ce qui ne peut pas être
recyclé). L’officier sanitaire m’a recommandé de trier les déchets — ce que
nous faisons déjà rigoureusement pour en diminuer le volume. Notre agent,
Bolivar Pesantes, est reparti avec nos poubelles recyclables; nous avons jeté
les autres discrètement à terre dans les récipients appropriés.
Eau
Elle s’achète en gros bidons de 20 litres
(du genre de ceux des fontaines à eau) – par l’intermédiaire de l’agent.
Fuel
Aussi par l’intermédiaire de l’agent. Comme
la ressource est rare il doit demander l’autorisation aux autorités, et l’on
m’a dit que le prix est plus élevé pour les étrangers (environ 1.6 dollars le
litre – presque les prix suisses) que pour les locaux. Les liquides se mesurent
ici en gallons: résultat je me retrouve avec des bidons qui n’ont pas été remplis à bloc.
Gaz
L’agent m’a conseillé de faire recharger ma
bouteille de gaz à Santa Cruz.
Envoi de pièces de rechange
Notre pilote électrique ayant rendu l’âme, j’ai
voulu savoir si nous pourrions nous en faire envoyer un nouveau ici. Conclusion:
c’est possible mais il ne vaut mieux pas. Cela prend entre 2 et 3 semaines même
avec DHL – formalités, tracasseries administratives – et les autorités
prélèvent une taxte de 50% de la valeur de l’objet. Et s’ils trouvent que la
valeur déclarée ne correspond pas à l’idée qu’ils s’en font, ils l’adaptent en
conséquence.
On m’a dit que je pourrais en trouver à la ferreteria – finalement je n’ai pas
essayé d’en acheter ici, je tenterai le coup à Santa Cruz qui est une ville
plus grande.
Quincailleries
Il y a plusieurs ferreterias dans la ville – ce qui se comprend vu le nombre de
chantiers en cours.
Pain
Plusieurs boulangeries, dont une super au
rond point en haut à gauche vers la plage de Puerto Mann. Plein de petits pains
différents – au maïs, à la cannelle, au lait, à la farine complète, croissant
jambon fromage, etc... On se sert dans un petit panier et cela sent bon ! Il y
a d’autres boulangeries de l’autre côté de la ville, en partant vers La Loberia.
Marché
Un grand mercado le samedi matin, en haut de la ville (derrière l’église –
amer remarquable depuis la baie); plein de fruits et de légumes cultivés sur
l’île, et les gens sont très sympa. Se munir de plein de coupures ou de pièces
de 1 dollar – ils ont beaucoup de mal à rendre la monnaie.
Argent
Il y a des distributeurs automatiques mais
je n’ai pas réussi à y retirer des sous. Cela ne pose pas de problème à la
banque avec la carte visa, mais il faut penser à prendre son passeport.
Supermarchés
Plusieurs en ville, mais ce n’est pas ici
que l’on peut faire un avitaillement. Il y a beaucoup de Nescafé dans les
rayons, du riz, des pâtes... peu de produits frais; la viande et le produits
laitiers sont exclusivement locaux.
Il y a un grand supermarché sur la route
qui part de Puerto Baquerizo vers El Progreso – à gauche après le seul feu de
la ville.
Boissons
Les boissons – bouteilles d’eau, sodas en
tous genres, bières – s’achètent dans une bodega. Il y en a plusieurs en ville.
Lessive
Une lavanderia, chez Rosita. 1$ le kilo de linge lavé-séché: c'est vraiment pas cher.
Loisirs
Plein de boutiques de plongée qui offrent
toutes le même tour à Kicker Rock (aussi appelé Leon Dormido) — une journée 80
$ par personne tout compris pour faire du snorkeling; 160 $ pour la plongée;
c’est un must à ne pas manquer ! Nous
avons nagé au-dessus d’un banc de requins, au milieu de poissons multicolores,
dans le courant...
Un tour de l’île en taxi coûte 70$ - pour
monter au volcan, voir les tortues terrestres, traverser la zone cultivée de
l’île.
Internet
Plusieurs cybers; un café avec du wifi sur
le port, mais il ne fonctionne pas toujours; un bar qui propose aussi du wifi
(mais comme il n’ouvre que le soir... nous n’avons pas testé).
Marcher
Il y a plusieurs excursions à faire sans
avoir besoin de prendre un taxi.
Visiter le Centro de interpretacion - le centre d’information local - intéressant
et bien fait. Nous sommes cependant restées un peu sur notre faim et avons donc
téléchargé plein d’infos sur internet. Depuis le centre d’information, un
sentier part en direction de la colline (Cerro
Tijereta); il mène aussi à la Playa Carola. Si on continue le sentier au-delà
de la colline, cela devient moins promenade et davantage randonnée, il faut de
bonnes basquets pour crapahuter pendant 1h30 dans les broussailles et sur de
gros rochers noirs. Le but : une plage (Playa
Baquerizo) – déserte.
En partant vers la droite de la ville, on
va à La Loberia, la grande plage qui
est LE spot à otaries. Environ 45 minutes à 1heure de marche depuis la ville,
sur une route noire en plein soleil.
Dans tous les cas, prendre suffisamment à
boire !!
Poste
Sur le Malecon – le front de mer – à
droite. Attention, le prix des timbres est prohibitif (3$).
Agent
L’agent est obligatoire si l’on veut
visiter plus d’une île. Nous avons
choisi Bolivar Pesantes (naugala@hotmail.com)
après avoir lu des témoignages sur le Net. Ce n’est pas quelqu’un de
souriant ou de très avenant, mais il a
été très efficace et très pro. Notre autografo
était prêt à notre arrivée, il s’est occupé de toutes les formalités. Il a des
représentants sur les deux autres îles où nous allons ensuite, qui prendront le
relais. Il est conseillé de prendre contact avec lui à l’avance, moi je l’ai
fait à St Martin (un mois avant d’arriver aux Galapagos).
Joya
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire